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Le phénomène sneakers

L’Ecole de Management de Strasbourg, sous la houlette sémillante, sautillante et passionnée d’Alexandre BLUM, Président du Club Sneakers Empire et enseignant à l’EMS, a réuni, jeudi 3 novembre 2016, des membres de son Association: Erik Arlen, Philippe Hadey, Krish Moorooven et Samuel Mantelet, des pros ( designer, entrepreneur, merchandiser, conseil en communication) des sneakers de marques NIKE, BAGUA SHOES et ADIDAS.

De belles marques et de belles réussites Marketing pour des chaussures qui permettent de se faufiler sans faire de bruit (= to sneak), les chaussures préférées – de ce fait – des voleurs, mais aussi des basketteurs, des rappeurs, accessoirement des sportifs, et de presque tout le monde, aujourd’hui.

Les facteurs de différenciation des sneakers, en plus de la marque, du logo, sont esthétiques, particulièrement, l’aspect de la semelle (modèle déposé), qui comporte aussi souvent des innovations technologiques (et donc brevetables).

La stratégie Marketing, payante pour booster les ventes, est une stratégie pyramidale, dixit Samuel Mantelet, Conseil en Communication d’ADIDAS, par le biais de mentors, influenceurs, bloggeurs, réseaux sociaux, bien plus que les médias traditionnels (presse, TV…), mais également de “collabs” avec des artistes, qui vont apporter leur touche personnelle (droits d’auteur et droits liés à la personnalité) et de distribution, via des points de vente, avec des modèles exclusifs (et des contrats de distribution), et ce, dans les plus grandes capitales mondiales.

Il semblerait que les titulaires des marques de sneakers ne soient pas toujours très actifs à l’encontre des contrefacteurs et des contrefaçons, qui sont parfois fabriquées dans les mêmes usines de fabrication que les originaux!

Cette stratégie permissive, en revanche, ne nous semble pas judicieuse…

©Cabinet Bleger-Rhein-Poupon 2016

Le phénomène sneakers